Sommet Afrique-France : Qui a la légitimité de parler au nom de l’Afrique ? Photo : Droits réservés/GabomaInfo
Emmanuel Macron, en tant que chef de l’État français jouissant d’une légitimité démocratique de son pays, dispose d’assez de légitimité pour inviter ses homologues chefs d’états africains, bien ou mal élus, mais décideurs tout de même de leur pays pays a l’instant. Ces derniers sont libres d’accepter ou de refuser l’invitation, libres aussi de mettre en œuvre les décisions prises d’un commun accord.
De même qu’Emmanuel Macron était libre d’inviter la société civile, la jeunesse, les entrepreneurs, les artistes, les collectivités locales...africaines qui avaient des reproches à faire à la France, et qui ne sont pas autant écouter dans leur pays.
La France est encore un partenaire qui compte dans le monde parmi les plus grands.
Aussi, Macron n’a pas manqué d’anticiper sur la critique de légitimité des 11 "jeunes" sélectionnés pour participer à ce 28ème sommet Afrique-France, et tant pis pour les critiques, surtout jalouses de ne pas avoir été choisies.
Ceux qui se gargarisent d’avoir un passé de combattant et de lutteur pour les masses africaines ont lutté pour quel objectif ? Celui-ci a-t-il été atteint ?
Et quel en est le résultat ?
Qui leur a conféré la légitimité ?
L’Afrique est composé de 55 pays. Dans quelle guerre commune des 55 ont-ils acquise cette légitimité ?
Les décisions prises lors de ce 28ème sommet seront mises en œuvre, d’abord par la France, c’est un bon pas en avant, puis par les États Africains et leurs jeunesses qui le voudront sans obligation.
La France mettra sur la table les deniers des contribuables français respectueux de la légitimité confiée à leur président de la République.
Pour ceux qui critiquent Achille Mbembé, j’ai envie de leur répondre que "les chiens aboient, la caravane passe".
Pour les autres ne cherchez pas ailleurs, c’est l’africain qui est le fossoyeur de l’africain. Une seule raison : la jalousie.
Vive la jeunesse Africaine qui doit explorer toutes les opportunités qui s’offrent à elle pour avancer, et non pas rester scotchée sur les préalables politiciens de ceux qui se croient les référents auto désignés.
Vive Macron et vive la jeunesse africaine.
Soutien !
PETIT-LAMBERT OVONO